l'orc malodorant...

Le soleil lui tapait sur la tête et la chaleur était écrasante mais nul pars il ne pouvait aller, il avait même été banni de ses magnifiques plaines qui l'avait vu naître, comment avait-ont pus lui faire cela ? D'accord, son odeur corporel était fort malodorante, même pour un Orc, mais cela valait-il un bannissement dans ce désert ? Comment pouvait-ont faire une insulte pareil a son seigneur ? Mais qu'aurait-il pus faire seul face a ses pairs ? Il n'avait eu d'autre choix que de les suivre tandis qu'il l'exilait dans ce terrain vague où il n'y avait nul herbe, seulement ce sable dorée et ses dunes formant un paysage des plus mornes si l'on comparait aux plaines montagneuse qui l'avait vu naître. Mais, ses pairs allait regretter cet affront, car Prolor, seigneur de Demancia, aurait tôt fait de les placés a sa botte et bientôt, ils aduleraient tous son odeur malodorant, le présage de la mort qui marche dans leurs directions.

Au loin, un élément changea du décor habituel, un mince filet de fumée. Était-ce possible que d'autre êtres vivre dans ce désert ? Malgré lui, mus par l'espoir de peut-être enfin avoir de la compagnie après plusieurs jours d'errance, il accéléra le pas et lorsque le campement fut enfin en vu, il courrait a en perdre haleine. Une être semblait faire cuire quelques choses sur les minces flammes d'un feu hésitant, utilisant vraisemblablement des excréments comme combustible. Le jeune orc avança dans sa direction de sa démarche militaire de guerrier, son épée ballotant a son flanc et son bouclier tapotant le bas de son dos. Puis il s'adressa a elle en langue orc.

Prolor- Chère amie, puis-je me joindre a vous ?

(petite édition de correction après relecture.)

Bienvenue, guerrier Orc,

Tu te trouves au campement des Marcheurs des Ombres. Nous régnons sur le désert de Crissevent, au nord de la sauvage province d'Igoumen, et un peu au-delà.
Je suis Désacre, la commandante des Marcheurs.


Qu'est-ce qui amène un voyageur isolé jusqu'à nous ?
Quoi qu'il en soit, commence donc par accepter notre hospitalité : le désert a ses dangers pour qui ne s'y est jamais aventuré.
Tu dois avoir soif, et faim. Pendant que nous te préparons un bain et de nouveaux habits, viens donc boire un thé et manger quelques raisins sous une tente.
Le soleil est cruel à cette heure et tu te reposeras mieux sur une natte et des coussins.

Ce fut avec un certain plaisir que l'Orc accepta l'hospitalité de ses seigneurs. Ainsi donc, il c'était rendu jusqu'aux désert de crissevent, territoire des terrifiants Marcheur des Ombres. Pourtant, cette femme assise devant lui n'avait a priori rien de terrifiant, ayant plutôt la bonté naturel et la générosité des habitants du désert.

Après s'être assis dans la tente face a son hôte, l'Orc se mit a penser, essayant de se rappeler de comment parler ce dialecte qu'il avait maîtriser durant ses jeunes années et ce fut d'une démarche hésitante qu'il se mit a conter son histoire.

Prolor- Permettez moi de commencer par vous remerciez de votre charmante hospitalité et de m'excuser de prendre les prochaines minutes de votre temps pour vous contez mon histoire. Je suis seigneur du royaume de Demancia, un royaume où ce côtois les plaines verdoyantes que mon peuple apprécie par dessus tout, les collines et les grottes ainsi que plusieurs marais desquels me vienne cette puanteur. Mais les plus beaux territoires de mon royaume son les déserts arides qui jalonne le sud de mes terres. Comment me suis-je retrouver dans ce désert ? Cela peut vous paraître anodin, mais mes semblables mon jeter en dehors des plaines verdoyantes qui m'ont vu grandir dû a mon odeur pestilentiel, ainsi je me suis retrouvé a vagabonder dans ce désert où le vent est maître, heureusement je vous ais rencontrés, vous les seigneurs de ses vents, permettez moi de vous demandez si je pourrais me joindre a vous, Marcheur des Ombres ?

Nous avons brièvement discuté entre nous.
Nous t'accueillons avec plaisir au sein des Marcheurs des ombres.

Nous tenterons de faire quelque chose pour cette odeur. Au pire, nous t'enverrons faire des missions de reconnaissance. Tant que tu ne marches pas sous le vent...

Pour l'heure, tu peux déjà commencer à t'installer dans cette tente. En attendant que quelques uns de tes nouveaux compagnons viennent se présenter à toi, tu peux commencer à faire le tour du campement ou bien te reposer.

Ah ! J'ai entendu des rumeurs au sujet du bain de cactus !
Je ne savais pas qu'elles étaient vraies ! Prolor, rassure-toi, Oryanna est une experte des décoctions en tout genre. Un petit bain n'est rien du tout à préparer pour elle...


D'abord, une marmite !
Ensuite, hmmm...

Le nez plissé, dressé au vent comme un carnassier qui traquerait une proie, Aldramech sortit de l'ombre d'une tente.

- Qu'est-ce que c'est que cette odeur ? Ça pue plus que toutes mes légions de familiers et de Vrocks réunies. Qui a eu l'idée de garder dans sa tente un animal mort ?

Ses narines se dilataient, l'origine de l'odeur se précisait. Là, face à lui, la silhouette immense d'un orque pestilentiel surgissait de la tente de Désacre. L'odeur, libérée du cocon de toile qui l'amenuisait jusqu'ici, se répandit dans l'air, âcre, acide, épaisse...

Aldramech eut un regard admiratif pour Désacre. La résistance des assassins à toutes sortes de souffrance l'étonnerait toujours. Si on l'avait obligé à séjourner sous la tente avec cette exhalaison infernale, il en serait sûrement ressorti aussi verdâtre que l'orque lui-même.

Mais la maîtresse de Crissevent était fraîche comme une rose.

Comprenant que l'imposant guerrier venait d'être accepté parmi eux, Aldramech lui adressa un salut de la main chaleureux, mais de loin.

Il lui suffirait de se couvrir le nez sous son keffié même lorsque les tempêtes de sable cesseraient. Et puis, à la longue, il s'habituerait sans doute. Oui... On doit s'habituer... On doit forcément s'habituer...

[Désolé de ne pas t'avoir souhaité la bienvenue plus tôt. J'avais oublié parce que je l'avais fait ailleurs.]